4 freins psychologiques qui vous empêchent de sortir du célibat. Trouver l’amour n’est pas que chance, hasard ou destin. C’est également une question de bien-être psychologique et de sérénité. Je vais vous livrer ci dessous les 4 freins qui empêchent les célibataires de rencontrer l’amour. Une fois identifiés, vous pourrez l’affronter et enfin sortir du célibat.
1/ Pour sortir du célibat, il faut se libérer des peurs
Peur de souffrir, peur d’étouffer, peur de se perdre dans l’autre… Face à la révolution que représente l’amour, toutes sortes de résistances nous conduisent à freiner, surtout si le couple de vos parents était bancal, si vous avez vécu en direct leur séparation brutale. Pour être capable d’aimer et d’être aimé, il faut se débarrasser de toutes nos croyances sur l’amour (parfois au prix d’un passage sur le divan, ou par un coaching individuel). Il faut oser se laisser porter vers un autre que l’on ne connaît pas. Aimer, c’est accepter de prendre des risques.
A retenir : Affrontez vos peurs ! « Jetez vous dans le bain de l’amour en confiance ! » Voilà LE conseil principal indispensable pour ne pas rester célibataire. De plus, offrir votre confiance à l’autre et avoir confiance dans la relation rassure votre partenaire et l’incitera à vous offrir en retour sa confiance et la sécurité affective qui vous manque tant ! Car ne vous y méprenez pas, votre partenaire a souvent peur lui aussi de souffrir, peur d’étouffer, peur de se perdre. Et comme on reçoit ce que l’on donne …. C’est un conseil gagnant-gagnant.
2/ Pour sortir du célibat, Il ne faut pas chercher un partenaire selon « un cahier des charges »
« »40 ans, grand, beau, sérieux mais qui aime rire, intelligent, rassurant mais pas tout mou »… En amour, on arrive trop souvent avec une liste toute faite, héritée des valeurs familiales. Alors : Soit on ne remarque pas la perle rare (car elle ne colle pas à la fameuse liste), soit on va faire fuir cet homme qui n’aura pas envie d’entrer dans une histoire qui n’est pas la sienne.
Pour accueillir l’amour, il faut commencer par lui faire un peu de place. Oublier nos références, cesser de vouloir faire un casting pour plaire à papa-maman, dont les goûts ne correspondent pas forcément à notre moi profond, d’où nos échecs… Commencer par oser sortir dans des lieux nouveaux que l’on ne connait pas. Rencontrer un homme aux antipodes de cette fameuse liste risque bien de faire voler en éclats vos résistances.
A retenir :Ne suivez pas à la lettre votre cahier des charges, allez à la rencontre de l’autre pour découvrir son univers singulier, ses valeurs.
3/ Pour sortir du célibat, ne cherchez pas « votre moitié »
« Un jour mon prince viendra ! » « On a grandi dans l’illusion d’un autre qui viendra, un jour, compléter notre puzzle intérieur. Et on le cherche. En vain puisqu’il n’existe pas. Pour sortir de cette impasse, il faut dépasser le mythe immature de la moitié retrouvée. Se décoller de son nombril et cesser de chercher en l’autre un ciment pour colmater ses propres brèches. L’amour n’est pas le retour à la fusion du ventre maternel. NON. C’est la rencontre de deux univers distincts.
A retenir : Comprenez définitivement qu’acceptez l’autre dans sa différence est la seule voie vers le vrai amour. Sortez de l’illusion de « l’âme soeur »
4/ Pour sortir du célibat, un désir de bébé trop pressant est un vrai frein
Si elle n’est pas partagée, l’envie de grossesse est une menace pour l’autre, qui peut se sentir piégé et risque alors de maintenir une distance ou fuir. C’est aussi une façon bien narcissique d’aborder la relation : en fonction de ce qu’on en attend soi, pas de ce qu’on peut décider ensemble. Oui, je vous l’accorde, l’horloge biologique est une injustice ! Mais, pour la rencontre, il faut résister à la tentation de voir l’autre comme un géniteur. Eviter les attendrissements devant les bébés même si vous avez l’impression que cela donne vie à votre projet. Cela déclencherait une peur quasi archaïque chez le prétendant. Tant que ce désir de bébé prend plus de place que la relation, l’histoire ne pourra pas durer.
A retenir : Commencez le travail sur vous (difficile mais salutaire) d’acceptation que vous devrez peut-être renoncer à votre envie d’enfant. Ou pensez à d’autres possibilités : adoption, congélation d’ovocytes,…etc
Vous avez des freins psychologiques qui vous empêchent de trouver votre partenaire ? Levons les ensemble !