Agnès Love coach

Il n’a pas coupé le cordon ! Comment gérer cette situation ?

« Il n’a pas coupé le cordon ! » ou « Ma belle-mère me gonfle ». J’ai régulièrement des jeunes femmes, qui, comme Clémentine ou Isabelle ne trouvent pas leur place au sein de leur couple et me demandent alors désemparée « Comment lui faire couper le cordon ? » ou « Comment gérer ma belle-mère ? »

Mère fils cordon
mère fils cordon

Si votre compagnon entretient une relation trop étroite avec sa mère, il est temps de lui faire comprendre que – désormais – c’est vous la femme de sa vie ! Que vous ayez une belle-mère trop envahissante ou un compagnon qui n’arrive pas à couper le cordon, vous avez le sentiment de former un couple à trois. On peut trouver plus ou moins normal le fait qu’un jeune homme ait du mal à se séparer de sa mère ou ait encore souvent besoin de ses conseils mais on accepte moins quand cela arrive chez un homme plus mature.

Pourquoi maintient-il une relation de proximité avec sa mère ?

Les raisons pour lesquelles un homme reste proche de sa mère :

  • L’homme a souvent une relation particulière avec sa mère. Quoi que l’on fasse, la mère reste le modèle féminin de référence de l’homme. Il recherchera d’ailleurs très souvent sa mère dans le profil de ses partenaires. Donc, intuitivement, pour l’homme, tout ce que sa mère fait est meilleur que ce que sa compagne fait. Il procède toujours à une comparaison. La femme, à force, peut prendre ça comme une compétition et les relations entre femme et mère peuvent se dégrader rapidement.
  • La mère offre une sorte de sécurité affective à son fils qu’une femme ne pourrait pas lui donner. Elle sera généralement toujours là quoi qu’il arrive. Certaines ont l’habitude de mettre leur fils sur un piédestal. Celui-ci recevra alors moins bien les remarques et critiques de sa compagne et ira trouver du réconfort chez celle qui l’idéalise… : sa mère !

Il existe 2 types de mères encombrantes : celle qui tente de contrôler intentionnellement la vie de leur fils et celle qui le fait de façon naturelle, c’est à dire sans s’en rendre compte.

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Comment faire pour qu’il coupe le cordon ?

1. Communiquer… (et oui encore la communication…)

Maintenant que vous avez compris en lisant plus haut pourquoi il entretient une relation si proche avec sa mère, vous aller pouvoir lui communiquer vos ressentis négatifs sans le juger et sans juger sa mère. N’oubliez à aucun moment que vous ne pourrez jamais modifier le lien unique et fort qu’il a avec elle. Par contre vous devez en effet, lui partager votre ressenti négatif de « faire un couple à 3 », de « vous sentir moins importante que sa mère », « moins bien qu’elle » et que vous ne savez pas comment trouver votre place d’amoureuse. Ce à quoi votre partenaire va réagir :

  • 1. Soit il vous écoutera, vous comprendra et fera alors tout pour que vous vous sentiez mieux et unique à ses yeux alors tout ira bien.
  • 2. Soit il prendra mal vos réflexions alors, votre couple ne tient peut-être qu’à un fil si sa mère est manipulatrice ou pathologiquement intrusive… Je vous conseille alors de prendre rendez-vous avec moi pour en discuter plus précisément. Nous essaierons de tout faire pour rééquilibrer votre relation.

2. Entretenir une belle relation avec votre belle-mère

Comme vous l’avez lu plus haut, le lien mère-fils est atypique, unique, fort. Il vaut donc mieux ne pas intervenir entre elle et lui sous peine d’envenimer la situation. Par contre, Il existe une solution qui est humainement plus intéressante, plus intelligente et plus mature : entretenir une belle relation avec votre belle-mère. Oui, je préfère vous prévenir, ce n’est pas facile ! Mais très efficace. Alors, on s’y met ?

Les conseils pour une bonne entente belle-mère / belle-fille

Ah ! La belle-mère ! Ce personnage récurrent du comique familial, des blagues faciles et du théâtre de boulevard, la mère du fils, la méchante, l’envahissante, la possessive ! Celle qui occupe également une grande place dans les plaintes qui s’expriment dans les cabinets de psys ou lors de mes coachings. Comment comprendre ce lien difficile ? Qu’est-ce qui rend les relations belle-fille / belle-mère si tendues ? Comment se manifestent ces tensions ? Quelles en sont les sources et quels solutions pour les apaiser ?

: Voir ce qui est en jeu pour l’une comme pour l’autre a son importance. Non qu’il faille pour autant se taire, laisser faire et tout accepter, mais cela permet de ne pas se sentir trop personnellement mise en cause par un comportement, intrusif, agressif ou au contraire trop distant, mais qui apparaît, dans tous les cas, comme particulièrement blessant.

Rappel de ce qu’il faut savoir sur le lien mère – fils

On connait la complexité, la puissance du lien qui unit mère et fils dans l’inconscient de chacun. D’où, lorsqu’il « quitte sa mère » pour « une autre femme » une reviviscence forte des conflits œdipiens.

L’engagement de son enfant dans une nouvelle vie est une étape toujours teintée d’ambivalence et cela même si la belle-mère, à l’opposé des caricatures qui la diabolisent, trouve sa bru objectivement parfaite. A la fierté de voir son enfant devenir un homme se mêle en effet des sentiments confus d’envie, de nostalgie, quelques regrets aussi. C’est, pour toutes celles qui voient leur fils s’en aller vers une autre, un moment de fragilité. La compagne qu’il a choisie va-t-elle réussir à le rendre heureux ? Plus heureux que lorsqu’il était encore enfant ?

Quand l’inconscient de la belle mère ou de la belle fille s’en mêle…

Si la belle-mère est elle-même malheureuse dans son propre couple, angoissée à l’idée de vieillir, désemparée, incapable d’investir un rôle qui ne soit pas celle de la « mère-de-son enfant », cette ambivalence peut basculer dans le rejet systématique de toute « rivale » qui viendrait occuper la première place dans le cœur de son fils. Dans ce cas, ce n’est évidemment pas la belle-fille elle-même qui est en cause. Une autre, n’importe quelle autre, serait tout aussi mal traitée.

Il arrive aussi que la belle-fille – de son côté – joue sa partition dans la rivalité qui s’instaure parfois très précocement. Est-elle jalouse de sa belle-mère comme elle le serait d’une ex ? A-t-elle peur de trahir sa propre mère, si elle noue des liens de trop grande proximité avec sa belle-mère ? Reporte-t-elle sur sa belle-mère une agressivité qui n’ose pas s’exprimer à l’égard de sa mère ? (Si vous êtes la belle-fille, vous posez ces questions peut vous aider)

Dans les contes de fées (ou parfois dans les familles recomposées) c’est la seconde femme du père, la méchante belle mère qui fait les frais de ce déplacement.

Ce que vous pouvez faire pour déjouer le rôle de l’inconscient

Accepter d’abord, comme on vient de le voir, le fait que les choses ne sont pas si tranchées entre un ange de douceur (vous) et un monstre de méchanceté (votre belle-mère) et que la rivalité est un jeu qui se joue à deux.

Le fait de réfléchir sur soi avant de tout imputer à l’autre a toujours des effets positifs. Tout comme essayer de comprendre ce que la situation comporte pour l’autre de difficile : ne pas prendre les choses personnellement évite de se sentir blessée, humiliée, donc de sur-réagir et d’alimenter le cercle infernal du conflit.

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Ce que vous devez éviter

Il ne sert à rien de rentrer dans le jeu de la rivalité. Essayez plutôt de rassurer votre (future) belle-mère. Et de l’apprivoiser. Il ne s’agit pas de se soumettre mais de repérer ses bons côtés, elle en a surement, cherchez bien, et de les lui souligner. C’est assez simpliste mais plus productif que les mises à jour régulières de la liste de ses défauts. Pourquoi, par exemple, ne pas la remercier d’avoir fait de son fils cet homme aux valeurs solides sur qui vous êtes certaine de pouvoir compter ?

On recommande parfois aux belles-mères de respecter avec leurs belles-filles la règle des trois C: des Cadeaux des Compliments et pas de Conseils. Avec les belles-mères, c’est un peu pareil. Remplacez juste le dernier C : des Cadeaux, des Compliments et pas de Critiques.

Ce qu’il faut savoir sur les belles mères intrusives

Un des sujets de plaintes les plus fréquents chez les jeunes couples concerne la manière dont les beaux-parents et tout particulièrement la belle-mère cherchent à s’immiscer dans leur vie. Voir son fils s’installer avec une « autre femme » peut réveiller chez certaines belles-mères une angoisse d’abandon, susciter chez d’autres une diffuse inquiétude face à l’avenir : Comment penser les années qui vont suivre, comment les remplir ? D’où la tentation, pour elles, soit de marquer une coupure en s’éloignant, ne serait-ce que géographiquement, soit à l’inverse, et plus fréquemment, de vivre une deuxième vie par procuration en intervenant, fut-ce avec les meilleures intentions, dans celle du nouveau couple.

C’est ainsi que l’on voit certaines belles-mères proposer, le plus innocemment, le plus gentiment du monde, puisqu’elles ont du temps et qu’elles « s’y connaissent » d’aménager l’appartement du jeune couple, de choisir les meubles, le carrelage de la cuisine, la couleur de la salle de bains et celle des coussins.

Ce que vous pouvez faire pour éviter l’intrusion : posez gentiment mais fermement vos limites

Le virage, là, est particulièrement délicat à négocier parce que la plupart du temps, il n’y a pas forcément d’intention mauvaise (au moins consciemment) dans cette main mise en douceur sur le quotidien du couple. Il faut que la limite soit posée tout de suite. avec gentillesse mais la plus grande fermeté aussi ! Exemple : Dire qu’on est ravie de savoir qu’on peut compter sur sa belle-mère, qu’on n’hésitera pas à lui demander conseil sur tel ou tel point d’aménagement, l’emmener, pourquoi pas, choisir avec vous un modèle de papier peint mais ne pas la laisser prendre le pouvoir sur ce qui sera votre cadre de vie. Et non le sien.

Autre sujet délicat : les « objets de famille » dont certaines belles-mères souhaitent faire cadeau à leurs belles filles. Il s’agit toujours d’une forme d’intrusion mais compliquée du poids symbolique de la transmission. Ce meuble par exemple, que l’on veut donner représente enchaînement des générations et la continuité familiale. Le problème c’est que l’armoire normande, le canapé Chesterfield ou la table Louis XVI, outre qu’ils prennent pas mal de place, ne font pas forcément bon ménage avec la déco « Maisons du Monde » ou Ikea…

Ce que vous devez éviter : blesser

Un refus brutal serait contre productif et inutilement blessant. Là encore, un peu de diplomatie est nécessaire. L’essentiel est de faire comprendre qu’on reconnaît la portée du geste, sa valeur symbolique, que ce n’est pas l’idée de transmission que l’on refuse, bien au contraire, mais simplement un objet, du moins pour l’instant, un peu trop encombrant. L’idéal serait de pouvoir demander à votre belle-mère autre chose, un vase, une petite table basse, dont elle accepterait de se séparer et dont vous seriez heureuse qu’elle vous fasse cadeau pour l’intégrer dans l’histoire familiale qui se poursuit.

La relation avec votre belle mère si vous donnez naissance à un enfant

La naissance d’un enfant est une nouvelle source potentielle de malentendus et de conflits avec votre belle-mère. D’un côté la belle-mère se réjouit à l’idée d’avoir enfin un nouvel objet d’amour en qui elle voit le prolongement de son propre enfant. De l’autre, cette naissance peut réactiver angoisse et jalousie inconsciente. Son tour a passé : elle ne sera plus une jeune maman mais désormais ne sera qu’une grand-mère.

Les projections se font plus denses. Chacune traque ressemblances et différences sur le visage du bébé. Les conseils sur la manière dont il faut s’en occuper le nourrir, l’habiller et bientôt l’éduquer, se multiplient et peuvent prendre assez rapidement l’allure de critiques plus ou moins déguisées. Critiques qui blessent d’autant plus la jeune mère qu’elle se sent elle-même fragile, fatiguée, et encore peu assurée de son nouveau statut de maman.

Ces conflits belle-mère / belle-fille autour de l’enfant touchent à la fois le territoire et, plus profondément, l’identité de chacune, son ancrage familial et culturel. Ils mettent à jour des inquiétudes sourdes, des loyautés pas toujours conscientes. La belle-mère se trouve en rivalité non seulement avec la femme de son fils mais avec la mère de celle-ci. On sait l’importance que prend souvent pour une jeune maman sa propre mère. C’est à elle, de préférence, qu’elle parle des émotions qui la traversent, à qui elle demande conseil et confie d’abord l’enfant. De ce fait il arrive que la belle-mère se sente rejetée, exclue, ce qui accroît son malaise et peut le transformer en amertume et en agressivité.

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Ce que vous pouvez faire pour améliorer votre relation avec votre belle-mère une fois que vous avez un ou des enfants

D’abord essayer dès le début, et même si ce n’est pas facile, de maintenir un équilibre entre les deux familles, les deux grand-mères. Ne laissez aucune des deux empiéter sur votre vie mais n’en privilégiez ouvertement aucune.

Ne vous braquez pas immédiatement à la moindre remarque concernant les enfants. Les conseils ne sont pas forcément empreints d’agressivité. Essayez plutôt d’anticiper et de demander, vous, conseil à votre belle-mère sur la manière de s’y prendre. Elle vous en sera reconnaissante. En revanche si les critiques sont violentes, publiques, ne vous laissez pas humilier. Prenez votre belle-mère à part et tentez de convenir ensemble d’un modus vivendi. Ayez à l’esprit qu’une belle mère, quelle que soit la rivalité qui l’oppose à sa belle-fille, n’a pas intérêt à se brouiller avec elle, au risque de se brouiller aussi avec son fils.

Acceptez en revanche tous les cadeaux qu’elle vous fait pour les enfants. Y compris les vêtements. Même si ce n’est pas votre goût. Même si ce n’est pas votre style. Rien ne vous oblige à les leur mettre tous les jours. Prenez les en photo avec et postez le tout à votre belle-mère avec un petit commentaire gentil.

Acceptez aussi que, chez elle, ils ne suivent pas exactement les mêmes règles de vie que chez vous. Ce n’est pas très grave s’ils regardent la télé alors que chez vous elle est interdite. Ou qu’ils aillent à la messe alors que vous êtes farouchement anticléricale. Les enfants ont besoin pour grandir de s’enrichir des différences.

Ce que vous devez éviter :

Ne faites pas appel à votre belle mère systématiquement à la dernière minute pour garder les enfants, en lui faisant bien sentir que c’est parce que la baby-sitter vous a fait défaut et que vous ne pouvez vraiment pas vous débrouiller autrement.

Plus sérieusement, ne faites surtout pas de chantage aux petits-enfants. Même si vos rapports avec elle sont exécrables, ne privez pas votre belle -mère de les voir, ils en seraient les premières victimes. Ils ont besoin de ce lien qui les ancre dans leur filiation. Parlez aussi avec vos enfants s’ils sont plus grands, et expliquez leur qu’ils ont le droit d’aimer deux personnes qui, entre elles, ne s’entendent pas.

Les belles mères ne sont pas chez elles chez leur fils

On connait la réplique célèbre de La vérité si je mens. C’est la nuit, un couple entend qu’on sonne à la porte. Qui cela peut-il bien être ?
– Ta mère, suggère la femme ?
– Mais non, répond l’homme, Maman, elle sonnerait pas ! Elle a la clé !
Elle résume bien, cette réplique, le dernier (et
non des moindres) sujet de plainte des belles-filles : l’attitude de leur compagnon.

Face à une belle-mère qui considère que chez son fils, c’est chez elle, qu’elle peut, comme quand il était célibataire, venir chercher son linge sale et le lui rapporter repassé avec, en prime, quelques Tupperwares remplis de ses plats préférés, plats que vous-mêmes ne savez pas très bien faire et que vous n’aurez donc plus, comme c’est commode, qu’à passer au micro-onde pour les décongeler, face à ce modèle de belle-mère XXL , les belles-filles désemparées se retournent vers leurs compagnons pour leur demander de l’aide. Or cette aide, bien souvent, et même s’ils sont conscients du problème, ils ne parviennent pas à la leur donner.

On touche là sans doute à des configurations familiales particulières et on peut supposer d’abord que ces maris qui, célibataires, se faisaient nourrir et blanchir par leur mère entretiennent avec elle une relation de dépendance voire de soumission qui ne leur permet pas non plus, lorsqu’ils sont mariés, de s’opposer à elle. Mais même lorsque le conflit se présente de manière moins caricaturale, il n’est pas rare de voir les hommes tétanisés, impuissants, devant la rivalité qui oppose « les deux femmes de leur vie ».

Ce que vous pouvez faire si votre belle mère « se croit chez elle chez vous »

On dit souvent que celle qui se sent mise en cause, envahie, par sa belle-mère doit très vite poser les limites, défendre son territoire, s’affirmer. C’est vrai, mais ce n’est pas si simple. L’intrusion ou l’emprise fonctionnent d’autant mieux qu’on a laissé la porte à demi ouverte. Qu’une jeune femme se sente écrasée par sa belle-mère signifie peut-être aussi qu’elle manque, à la base, de la confiance en elle qui lui permettrait de ne pas se laisser accabler. C’est cette confiance qu’il lui faudra d’abord travailler, restaurer pour se sentir, vis-à-vis de sa belle-mère, non plus en rivalité, mais, chacune à sa place, sur un pied de tranquille égalité.

Ce que vous devez éviter :

Il ne faut JAMAIS demander à votre compagnon de prendre parti, de choisir. C’est en effet le placer devant un conflit de loyauté impossible. Faute d’en être capable, il tentera le plus souvent de se mettre dans une position de médiateur qui ne satisfera personne. C’est ensuite conforter une confusion dont justement il doit se dégager. On n’a pas à choisir entre sa mère et sa femme, parce qu’elle n’occupent pas la même place. C’est cela que les trois « parties » en présence : compagnon, belle-mère et belle-fille doivent comprendre.

Il ne s’agit pas de vous taire non plus, mais évitez de donner à votre compagnon le sentiment que c’est lui que vous attaquez en vous plaignant de votre belle-mère. Même celui qui peut, en toute lucidité, se plaindre lui-même et en détails de sa mère acceptera difficilement d’entendre les mêmes reproches dans la bouche de sa femme. Mieux vaut lui soumettre votre embarras, lui confier vos doutes, votre malaise, lui demander des conseils, au lieu de le sommer d’intervenir. De cette façon votre conjoint, même s’il se sent pris dans un conflit de loyauté entre sa mère et vous, aura plus de forces, si la situation perdure ou s’envenime, pour trancher fermement en faveur de son couple.

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Enfin ces conflits belle-fille/ belle-mère qui se répercutent dans le couple peuvent aussi être l’occasion d’une réflexion sur le fonctionnement même de la relation. Il arrive parfois qu’on impute à l’extérieur, à la belle-mère en l’occurrence, ce qui relève d’une problématique interne au couple. Dans ce cas, et afin d’y voir plus clair, pourquoi ne pas aller demander de l’aide à un professionnel ?

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