Agnès Love coach

conflit couple

6 couples qui ont sauvé leur relation amoureuse

6 couples qui ont sauvé leur relation amoureuse vous livrent ci dessous les déclics et actes qui les ont aidé à retrouver une relation équilibrée. Voici leurs récits et mon avis !

1. Ne pas se séparer au moindre doute – Julie et Marc

Julie : « On se séparait au moindre doute » « Au début de notre rencontre, on était un couple très fusionnel : On pensait vraiment que ça durerait toujours ! Alors, quand au bout de 2 ans, je me suis un peu éloignée de Marc, on s’est séparés. J’avais moins de désir pour lui, moins de papillons dans le ventre à l’idée de le voir. Je lui en ai parlé, on a mis ça sur le compte d’une baisse de sentiments, et on a voulu se séparer avant que ça ne devienne pire. Mais trois mois après, on se remet ensemble. Puis, c’est à lui de se poser des questions. Il me dit alors qu’il a peur de me tromper un jour, qu’il ne sait pas s’il sera capable d’être fidèle toute une vie. Nouvelle rupture ! Mais, une fois de plus, impossible de vivre l’un sans l’autre. »

Notre décision :  « C’est en discutant avec Agnès Love Coach que j’ai réalisé qu’on avait mis la barre trop haut dans notre couple. Que les doutes étaient normaux et qu’on ne pouvait pas s’aimer passionnément tous les jours… Aujourd’hui, je sais que notre couple est fait de hauts et de bas, et que le principal est qu’il y ait plus de hauts. On ne se parle plus systématiquement de nos états d’âme et on apprend à gérer nos bas sans peur ni culpabilité, et à les apprivoiser. »

L’avis d’Agnès Love Coach : Les couples qui s’aiment pour toujours ne s’aiment pas follement tous les jours. Ça fait du bien de relâcher un peu la pression, non ? Considérez l’amour comme un élastique, qui se tend et se détend au gré des jours. Et ça marche aussi pour la libido. Accepter une fois pour toute que l’amour et le désir changent de visage, de forme, que même, parfois, ils semblent bien absents, c’est aussi la meilleure manière de profiter des moments où ils reviennent, avec la même intensité qu’au début. Inutile alors de s’inquiéter et d’inquiéter l’autre en étant 100 % transparente avec lui. Laissez parfois les doutes être ce qu’ils sont : des étapes normales dans la vie d’un couple.

2. Se donner des rendez-vous amoureux – Isabelle et Olivier

Olivier : « On ne faisait que se croiser » En semaine, Isabelle rentre à 19h, et moi une heure après. On mange tous les cinq et quand les enfants dorment, au mieux, on regarde un film ensemble avant de se coucher, au pire, elle est devant l’ordi et moi au lit à bouquiner. Le week-end, on a souvent plein de choses prévues avec des amis ou de la famille. Résultat, tous les deux, on se croise.

Notre décision « A la rentrée dernière, on a décidé que tous les mercredis, on ferait dîner les enfants et on mangerait après, en tête à tête. Au début évidemment, ça manquait un peu de naturel, on aurait dit une mise en scène. Mais vu notre rythme, on sait qu’on a besoin de ce rendez-vous. Alors ce jour-là, on soigne un peu le menu, on ouvre une bonne bouteille. Et surtout, dans la semaine, on pense souvent, chacun de notre côté, à des choses qu’on a envie de se raconter, des points qu’on a envie d’aborder… »

L’avis d’Agnès Love Coach : « S’obliger » à faire une place au couple dans les semaines full peut prendre la forme d’un dîner hebdomadaire, d’une 1/2 chaque soir avant de se coucher, d’un week-end par mois. L’intérêt est que, quand on sait qu’on aura bientôt un moment dans la journée pour parler calmement des choses qui fâchent, ça évite de les aborder à la va-vite, sous le coup de l’énervement, en prenant le risque que nos mots dépassent un peu nos pensées.

3. Oser être authentique au lieu de s’adapter pour ne pas déplaire – Mathias et Nicolas

Mathias : « Je me suis effacée pour ne pas lui déplaire »  « Quand j’ai rencontré Nicolas, il était en couple. Alors pendant deux ans, je suis fou de lui en silence. Dès le premier baiser qu’on échange, je suis sur un petit nuage et en même temps complètement stressé. J’ai peur de le perdre, de dire ou de faire quelque chose qu’il n’aimera pas, d’être « moins bien » que son ex. Alors je me montre toujours sous mon meilleur jour, j’évite de lui faire la moindre remarque même quand je bouillonne, je cherche à être irréprochable, tout le temps. Du coup, j’accumule tellement de non-dits et de rancœur que j’ai de moins en moins de joie de vivre. Je me sens fade et vidé. Finalement, alors que je voulais éviter d’être chiant, je deviens triste. Et c’est pire ! »

Ma décision  « Il a fallu qu’il aille trop loin, une fois, pour que je me lâche enfin. Je suis si mal que je suis prêt à me lâcher ! : Non, ça je n’accepte pas, et tant pis si ça doit me coûter notre histoire. Il a été surpris de ma réaction. “Agréablement surpris”, ce sont ses mots. Il m’a dit qu’il était soulagé que pour une fois je prenne position, que j’exprime ce que je voulais, moi. Qu’il avait parfois l’impression que j’étais prêt à tout, que je ne me respectais pas et qu’il avait besoin d’être avec un homme qui savait ce qu’il valait…»

L’avis d’Agnès Love Coach : Cette erreur est très fréquente, mais peut être pourtant fatale… A force d’avoir peur de perdre l’autre, c’est soi-même que l’on peut perdre en route. La seule façon de donner une vraie chance à son couple, c’est d’être vrai ! Etre dans l’authenticité. Se remettre en question, oui, mais raser les murs pour éviter les conflits, surtout pas… Savoir ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas, c’est connaitre son mode d’emploi, affirmer sa différence, définir sa présence. L’autre a besoin d’une présence en face de lui, pas d’un être paraissant vide. Et surtout, n’oubliez jamais : on recherche rarement quelqu’un de parfait, mais toujours quelqu’un d’épanoui !

4. Faire un break – Eric et Sylvie

« Ni avec lui, ni sans lui » « J’ai toujours détesté l’idée de “faire une pause”. Pour moi, c’était une façon hypocrite de se séparer. Alors quand, un soir d’énième engueulade, Eric me propose cette solution, je l’envoie balader. Soit on repart sur des bonnes bases, soit on arrête tout. Mais, dans la nuit, l’idée d’arrêter maintenant me paraît absurde, impensable. En même temps, la vie à deux est devenue invivable. »

Notre décision « J’appelle Agnès Love Coach, qui me demande pourquoi je ne veux pas envisager le “break”. Je lui réponds “parce que c’est trop facile”. Et je m’aperçois que ça ne veut rien dire. On est épuisés, à bout de nerfs, on a de plus en plus de mal à parler, alors si on peut s’épargner le pire, pourquoi ne pas le faire ? J’accepte la “pause”, en sachant que je prends le risque qu’on se sépare. Mais en restant ensemble, on en arrivera de toute façon là. Zéro nouvelles entre nous, c’était la règle. C’est très dur, mais j’avance. La colère descend en même temps que le manque se fait sentir, alors je réalise plein de choses. J’y vois plus clair dans ce que je lui reproche, j’identifie les vrais problèmes. De son côté, il réalise qu’il avait besoin de nous sentir en danger, de me sentir loin de lui pour vraiment revenir, prendre la décision de former un couple avec moi. »

L’avis d’Agnès Love Coach : Parfois, les situations sont littéralement bloquées, parler ne suffit pas, voire ne fait qu’envenimer les choses faute de trouver les bons mots. Mais il arrive que dans ces situations, l’idée d’une rupture finisse de nous anéantir. Une des clés de la sagesse est de savoir prendre son temps. Chacun de son côté, s’il le faut. Il n’est pas nécessaire de précipiter les grandes décisions, mais parfois expérimenter le manque et la distance peut dénouer des problèmes, et surtout aider à prendre à nouveau en compte l’amour que l’on se porte… En cas de situation pénible semblant inextricable, demandez-vous tout simplement « Qu’est-ce qui me ferait du bien ? Qu’est-ce qui m’apaiserait ? »  Allez vers la simplicité, la «facilité » est aussi une façon de se protéger.

5. Mettre en place un vrai changement – Rachid et Lola

Lola : « Il travaille à la maison : l’ambiance se détériore »« Rachid est un graphiste indépendant, donc il bosse à la maison. Quand je rentre le soir, les courses ne sont pas faites, les poubelles pas descendues et, en plus, je me fais engueuler parce qu’il est tard. Il a du mal à décrocher de son ordinateur, même le soir et le week-end, il est de plus en plus jaloux et notre couple se détériore d’un coup… Quand on en parle on tourne en boucle, alors un soir on a décidé de jouer notre dernière carte.

Notre décision : Puisque les discussions n’avancent pas, il prend un bureau, et on voit ce que ça donne. Je suis sceptique, je ne vois pas bien comment un changement si « matériel  » pourrait arranger les choses. Et ça représente quand même un budget supplémentaire par mois, alors fini les restaus et les week-ends en amoureux. Mais ça vaut le coup. Dès la première semaine, le changement est notable : quand il rentre le soir, il ne bosse plus et, surtout il a des anecdotes à me raconter sur sa journée, on parle, on rigole. Parfois, quand je rentre, il n’est pas là : je redécouvre le fait d’être seule à l’appart et de l’attendre. Ça titille un peu ma jalousie mais notre couple se rééquilibre. »

‘avis d’Agnès Love Coach : Parce que quand plus rien ne va, on a tendance à partir dans les hautes sphères et à perdre pas mal de temps et d’énergie à vouloir arranger les choses, et rien ne change au final ! Pour prendre un nouveau départ, on a parfois besoin d’un point de départ, justement, d’un changement concret. Quand la situation semble bloquée, demandez-vous toujours : « Quel changement concret je peux mettre en œuvre pour faire évoluer les choses ? » 

6. Poser ses limites en les assumant – Arnaud et France

France : « Je rumine de me retrouver souvent toute seule » « Quand je rencontre Arnaud, je le soutiens à fond dans la musique. Je fais mes trucs de mon côté pendant ses répétitions, je l’accompagne aux concerts. Mais, après avoir accouché de notre fils, ses absences me pèsent de plus en plus. Il joue dans deux groupes. Résultat, je passe parfois des semaines entières seule, je suis lessivée et le fait qu’il ne soit pas là pour assister aux premières fois, premier biberon, premier sourire, me fait énormément de peine. Alors je râle. Souvent. Très souvent…

Ma décision: Un soir, il m’annonce qu’on lui propose de partir quinze jours en tournée, il me dit que si je m’y oppose il n’ira pas. Je me sens coincée. A la fois je n’ai aucune envie qu’il parte encore et, en même temps, je n’ai pas envie de lui interdire. Alors j’accepte, et chaque fois qu’il m’appelle je lui dis que je n’en peux plus. Ça me met face à mes contradictions. J’ai accepté pour ne pas culpabiliser, mais en même temps je lui en veux d’y être allé. A son retour, (pendant ce temps j’ai fait un Love Coaching avec Agnès) je suis très claire et affirmée : Je veux qu’il laisse tomber un des groupes. Pendant plusieurs jours je vis très mal cet ultimatum, mais je sais aujourd’hui que j’ai bien fait, puisque notre couple en dépendait. »

L’avis d’Agnès Love Coach : Parce qu’il est essentiel de comprendre notre part de responsabilité dans les situations qui ne nous conviennent pas. Ce qui dans notre attitude a permis qu’elles s’installent. Il est souvent plus facile de se sentir victime que coupable. Alors il arrive qu’on maintienne des situations insatisfaisantes, pour s’éviter la douloureuse épreuve de la culpabilité. Mais, en acceptant des choses qui ne nous plaisent pas, on entretient des rancœurs qu’il sera de plus en plus difficile de gérer. La première étape est d’oser se positionner. La seconde, c’est de se délivrer de la culpabilité qui en découle parfois : vous n’avez pas à vous sentir coupable puisque vous n’avez fait que mettre votre homme face à ses propres responsabilités !

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